[Concours] Il était une fois...

Bonjour à vous tou(te)s, ami(e)s Turamarthien(ne)s !

Voici l'heure du prochain concours ! *Cymbales de batterie*

Celui-ci est beaucoup plus proche du rp que les précédents, en effet, vous allez devoir conter une histoire à partir de mots qui va vous être à chacun imposés.

Comment allez-vous procédez ? C'est très simple. Devant vous, sur cette table, se trouve 9 paquets de cartes, chacun de couleur différente. Un paquet de cartes contient 10 cartes de 5 types : lieu, personnage, objet, aspect et évènement. Vous l'aurez compris, chaque carte correspond à un mot que vous aurez à intégrer dans votre histoire. Tous les mots doivent être utilisés.

Une fois que vous aurez choisi votre paquet, je vous enverrai les mots par mp. Chacun composera son histoire et la publiera ici-même. Une fois que tous les participants auront présenté leur création, tout le monde votera pour le conte qu'il a préféré. Les joueurs qui ne veulent pas participé pourront eux aussi voter.

Concernant la longueur, c'est selon votre souhait mais ne faîtes pas non plus un roman. Etant donné que les mots à employer ne doivent pas être trop espacés, vous allez vous rendre conte (ahaha la blague à deux balles) que vous n'aurez pas le loisir de trop broder.
Restez cool, le but est avant tout de s'amuser ^^

Mesdemoiselles, mesdames et messieurs, choisissez votre paquet !

- Deck Rouge
- Deck Bleu
- Deck Vert
- Deck Jaune
- Deck Noir
- Deck Or
- Deck Blanc
- Deck Violet
- Deck Argent


Pour répondre à une question que certains ou certaines se posent, la couleur du deck peut légèrement avoir un impact sur les mots se trouvant à l'intérieur, mais vraiment légèrement, du moins pour certains.

[ Pour ceux qui connaissent, vous aurez vite fait le lien entre ce concours et le jeu de cartes " Il était une fois ", jeu qui consiste à raconter une histoire en posant les cartes que l'on a en main pour arriver à un dénouement unique à chaque joueur. Bien évidemment, les adversaires peuvent s'incruster dans l'histoire en cours pour l'orienter de telle façon vers leur fin à eux. Un jeu très sympathique à essayer pour ceux qui ne connaissent pas ^^ ]

Chouette !

Le Deck Argent pour qu'Andronic ne puisse pas dire qu'il prend un paquet assorti à ses cheveux ! (traduire : qui brille comme ses cheveux.)

Sophro' tu devrais avoir bien honte de voler ce deck qui me correspondait à merveille !

Enfin je vais me rabattre sur le deck bleu alors !

Un'mei, je dois te remercier ! Tu as dû lire dans mes pensées pour proposer un jeu que j'apprécie autant !!

Ca va aussi très bien avec MES cheveux !

En tout cas Un'mei, merci pour cette idée ! Ca promet d'être drôle !

J'ai jamais réussi à battre Andronic à "Il était une fois..."

Ahaha, moi personnellement j'aurais dit que ses cheveux étaient d'or mais bon, nous n'avons pas les mêmes valeurs visiblement

* Prend un air cérémonial *

Tenez, fière Sophronisbe, votre deck. Croyez en l'âme des cartes. Non ça c'est pour un autre jeu...enfin, faîtes ce que vous voulez !

Noble Andronic, que ce paquet de cartes vous porte chance et réussite.

* Passe sa main devant son visage et efface son air bobo *

Mais, Andro, n'as-tu donc jamais rien ressenti ? Nous concernant, toi et moi...? Cette connexion qui nous unit ? Si forte... * soupire *

@ Sophro : c'est peut être parce que tu es nulle ?

Andronic semble avoir des connexions particulières avec beaucoup de monde...

@ Un'mei : Là, je suis vraiment vexée !

Mais Un'mei tu sais bien que c'est si compliqué pour nous deux ! Que nous ne pouvons vivre autrement que dans le secret !
*Brandit son poing vers le ciel dans un élan désespéré* Sache que j'aurais surmonté vents et marées pour faire éclater cette connexion au grand jour, mais Rahun ne comprendrait pas.. Il nous en voudrait terriblement..

Bon comme je suis de retour, je prends le vert. Couleur de l'espérance quand tant que sage je fonde sur la réconciliation de l'homme avec lui même et avec la terre nourricière.
Non Andronic, quand je dis réconciliation ce n'est pas comme tu l'entends, hein. Soyons un peu raisonnable pour une fois....

J'ai découvert ce concours en vaguant sur le forum.
Je ne sais pas si je peux déjà participer mais si c'est le cas, je prendrais le Deck Rouge car c'est une couleur qui me va bien.

Je ne connais pas le jeu dont ce concours s'est inspiré, c'est aussi une façon de le découvrir

Amarilys

Naissance d'une légende

Il était une fois une jeune orpheline nommée Amandine Flygarl. Dépositaire de l’héritage de sa famille et par cela gardienne d’un des secrets les plus précieux de l’Empire, elle avait passé son adolescence dans un petit village isolé, inconnue de tous. Elle travaillait comme serveuse dans la seule auberge du lieu, protégée par un homme qui se faisait passer pour un aventurier, et qui n’apparaissait donc que ponctuellement dans la vie d’Amandine. Le reste du temps, il se cachait dans les environs et surveillait les allées et venues de chaque voyageur.

Amandine connaissait l’importance de sa mission, et on lui avait suffisamment fait comprendre les dangers qu’elle courait pour qu’elle ne cherche pas à se soustraire à la surveillance de son protecteur. Même s’il ne lui avait jamais parlé, même si elle ignorait à quoi il ressemblait. Elle n’obtenait de lui que des mots écrits qu’elle devait brûler immédiatement après les avoir lus, et ne pouvait s’assurer de son identité que grâce à son bâton de marche, objet appartenant à la famille Flygarl. C’était un artiste du déguisement, qui prenait parfois l’apparence d’un vieillard ou d’un bossu. En tout cas, il semblait mettre un point d’honneur à toujours paraître laid. Elle avait fini par croire que c’était une de ses véritables caractéristiques.

Quelques semaines après son dix-septième anniversaire, l’homme en question entra dans l’auberge, l’air extrêmement pressé. Lorsque Amandine lui servit ce qu’il avait commandé, il lui glissa dans la poche un billet, comme ils avaient l’habitude de faire. Dès qu’elle eut un moment de libre, elle s’empressa de le lire.

« L’ennemi principal de l’Empire, et donc de ta famille, t’a retrouvée. Pars dès que possible dans les montagnes. Rejoins la clairière du Loup, prends le chemin de droite et abrite-toi dans la caverne près de la cascade. Je t’y retrouverai. Brûle ce papier. »

Le message, alarmant, était accompagné d’un sceau représentant un serpent en train de brûler. Le sceau familial des situations critiques.

Amandine se força à respirer calmement pour juguler sa panique. Elle devait partir au plus vite, et courir dans tous les sens en hurlant ne servirait qu’à alerter les éventuels espions de l’auberge. Elle monta dans sa chambrette, prit une besace et la remplit de divers objets utiles : une gourde, quelques vivres, une torche et surtout un couteau à la lame effilée. Elle connaissait quelques rudiments de combat qui, s’ils ne lui permettraient pas de remporter un combat, pourraient au moins ralentir son adversaire et laisser le temps à son protecteur d’arriver.

S’obligeant à ne penser à rien, elle quitta discrètement l’auberge par la porte de derrière. Il s’était écoulé moins de dix minutes entre le début de sa pause et son départ. L’aubergiste ne la chercherait donc pas tout de suite.

Amandine ne s’était jamais aventurée hors du village. Elle connaissait vaguement la direction de la clairière du Loup car elle était le lieu de rencontre des chasseurs en automne, et emprunta donc le sentier nord. On était en plein milieu de l’après midi et le temps était doux. Elle pourrait atteindre la cachette avant la tombée de la nuit.

Au bout d’une heure, elle commença à douter de son sens de l’orientation. A la tombée de la nuit, elle dut reconnaître qu’elle était complètement perdue. Elle ne reconnaissait aucune des montagnes qui l’entouraient et aurait dû arriver à la clairière depuis longtemps. Si seulement on lui avait donné une carte ! Cela aurait été bien plus facile. Maintenant, elle était condamnée à errer dans une forêt en attendant que ses ennemis viennent la cueillir. Tout compte fait, elle préférait être dévorée par les loups. Eux, au moins, se moquaient bien de savoir où se trouvait le cœur d’énergie pure qui permettait à l’Empire d’exister.

Quelle situation ironique ! Elle possédait le plan le plus recherché du monde et elle se retrouvait perdue comme une idiote !

Ses sombres pensées furent interrompues par un bruit inquiétant. Un bruit de pas. Amandine se redressa et sortit son couteau pour se donner une contenance. Quand son ennemi se dressa devant elle, elle était prête. Elle esquiva miraculeusement le premier coup, puis le deuxième. Son adversaire ne cherchait pas à la tuer, juste à l’assommer. Il avait besoin de ses connaissances. Le troisième coup l’atteignit de plein fouet et la laissa à moitié inconsciente. L’homme la chargea sur son épaule et partit.

Amandine sentit plus qu’elle ne vit un autre homme les charger. Sa chute acheva de la faire sombrer dans l’inconscience.

Elle se réveilla dans un endroit inconnu, au milieu d’une forêt. Elle tourna la tête et vit d’abord le bâton familial posé contre un rocher, puis l’homme qui la surveillait. Il était grand et musclé. Il avait la peau sombre de ceux qui passent leur temps dehors et portait sur elle un regard tranquille et rassurant. Celui qui avait organisé son sauvetage était une force de la nature. Et certainement pas laid.

Elle ferma les yeux, consciente d’être en sécurité.

Un Nouvel Espoir (d'écrire un conte valable)

C’étaient des temps reculés, une époque dont les faibles échos ne parviennent qu’à une poignée de personnes détentrices de souvenirs ancestraux en pleine déliquescence. Oui, c’était là une période aux contours imprécis, une période semblable à ces vieux manuscrits qui tombent en poussière sous l’effet du temps ; une période, dira-t-on, qui s’effaçait petit à petit dans la mémoire commune avant de chavirer dans les profondeurs de l’oubli…

C’était ainsi que le vieux scripteur désirait débuter le récit de sa vie qu’il avait nommé non sans quelque fierté : « comment je suis devenu un vieux loup solitaire en trois étapes ». Néanmoins ce début ne lui convenait guère. Il lui fallait quelque chose de plus direct, de plus incisif. Une mise en bouche suffisamment accrocheuse pour éveiller les papilles de ses lecteurs. Il avait songé pendant un moment à : « il y a bien longtemps dans une galaxie lointaine, très lointaine… », mais il s’était finalement convaincu que le public n’apprécierait guère –au pire il le réutiliserait ultérieurement. Non, ce que le public voulait c’était des grands sentiments, des renversements s’enchaînant à un rythme effréné, et surtout des répliques cultes que ses successeurs reprendraient encore et encore.
Mais où trouver de tels éléments dans l’histoire de sa vie qui s’était déroulée pour sa plus grande majorité entre sa petite maison dans la prairie et la ville voisine ? Il avait essayé tous les embellissements possibles : ne pouvait-il pas faire de sa lessive quotidienne une véritable épopée ? Après tout cette chemise verte pleine de tâches lui donnait bien du fil à retordre (et parfois à recoudre). Après d’innombrables et patientes réflexions, il s’avéra que de telles ambitions étaient, en fin de compte, irréalisables. Il ne pouvait pas raconter autrement son existence –sa très longue existence- solitaire et sans attraits véritables (hormis peut-être l’énorme bar qu’il avait pêché en mer dans sa fougueuse jeunesse ; pour le coup ça c’était du combat acharné !) autrement qu’en écrivant sur deux lignes : « J’ai vécu en loup solitaire parce que je n’ai jamais eu envie de sortir de chez moi ».
Désespéré par un tel vide, le vieux scripteur s’apprêtait à abandonner sa plume lorsqu’il eut une révélation ; une idée soudaine qu’il se flatta au moins cinq bonnes secondes d’avoir trouvée : « pourquoi ne pas raconter tout ce que ma vie n’a pas été ? » Retournant avec force à son papier, il commença à écrire.

Par une nuit sans lune, un jeune garçon fit un rêve dans lequel une voix l’appelait à quitter sa demeure pour s’engager dans une noble et gratifiante quête. L’occasion se présentait ainsi à ce héros plein de fougue d’étancher sa soif d’héroïsme en partant sur les chemins de l’aventure. En effet, une princesse retenue prisonnière dans un donjon pour le moins lugubre attendait jour après jour l’arrivée de son sauveur.

Non, c’est trop bateau, s’interrompit le vieil homme ; jamais le public n’accrochera avec un tel scénario. Il me faut quelque chose de plus original, s’indigna-t-il. Malheureusement il ne trouvait guère d’intrigue plus novatrice et se décida au final à garder le thème principal d’une princesse et de son dévoué sauveur tout en le modulant légèrement. Ce petit stratagème qui, sans le moindre doute, devait avoir de l’avenir, le satisfit. Avec un peu de chance personne ne s’en rendra compte songea le vieux scripteur alors qu’il reprenait la trame de son histoire.

Une princesse se trouvait donc très triste car elle avait perdu son bien le plus précieux : un antique miroir que sa famille se transmettait de génération en génération. Il était impensable qu’un noble combattant n’allât pas à la recherche de ce petit objet domestique, quitte à mettre en jeu son honneur en se confrontant à des dangers insoupçonnés et sans nombre. Le jeune garçon, à son réveil, se mit ainsi en quête de ce trésor, laissant derrière lui sa maison, son charmant potager avec ses plantations de tomates et ses trois poules qui circulaient tout à leur guise dans son jardin, pour s’aventurer là où peu d’hommes, aussi valeureux soient-ils, avaient osé se risquer.
Récupérer le miroir n’était guère une mince affaire. Voilà que l’objet en question se trouvait détenu au sein d’une immense forteresse dont il serait beaucoup trop long d’énumérer la totalité des défenses, aussi a-t-on décidé d’être le plus bref possible : une rangée de douze remparts, chacun haut de quarante mètres et d’au moins cinq mètres d’épaisseur, tous hérissés de pointes en fer forgé et garnis de tours massives à doubles parois, placées sur un intervalle régulier d’environ dix mètres ; un bastion taillé à même la roche il y a de cela fort longtemps (toute ressemblance avec une forteresse déjà existante est fortuite) ; une garnison qui comptait au bas mot dix mille orques armés jusqu’aux dents, bardés de l’équipement toute dernière génération (lecteur mp3 intégré pour écouter des chants de guerre en pleine bataille) ainsi qu’une moyenne (arrondie à l’inférieur près) de deux mille démons assoiffés de sang, sortis tout droit des cercles des enfers et prêts à en découdre avec le moindre combattant qui oserait se risquer ; maintenant, allez savoir pourquoi tout ce beau monde retenait dans le plus haut et le plus lugubre des donjons le miroir d’une pauvre princesse d’un royaume finalement bien obscur (la tactique de la rançon devait sans doute être monnaie courante à cette époque).

Décidemment ça ne colle pas, s’interrompit de nouveau le vieil homme. D’autres beaucoup plus talentueux s’y sont déjà essayé avant moi de retranscrire des assauts de forteresse avec un bien meilleur résultat ; le public n’aimera pas non plus cette pâle copie.. Non ce qu’il faut c’est que j’insiste davantage sur le caractère personnel, intime, de cette quête ; un peu comme si la recherche de ce miroir perdu était pour le jeune homme comme la recherche de soi avant tout. C’est exactement ça ! Le miroir ne serait qu’un prétexte pour faire de cette aventure quelque chose de plus individuel !

En réalité, le miroir tant recherché se trouvait au cœur d’une grotte dans laquelle s’engouffra le jeune héros, descendant petit à petit toujours plus loin parmi les ombres. Comme il était pour le moins chanceux, il finit par tomber sur le miroir qui trônait au sein d’une petite concavité dans la roche. Il s’en approcha puis le saisit. Cependant, quelle ne fut pas sa surprise quand, portant face à lui le trésor et contemplant alors sa propre image, il entendit une voix lui susurrer à l’oreille des chuchotements étranges. « Garde-moi avec toi brave héros.. tu pourras contempler à loisir ton visage jour après jour et admirer le grand combattant que tu es.. vois donc ce visage si fort, face auquel les mauvais se courbent de terreur et les bons s’agenouillent de respect.. Oui, garde-moi avec toi jusqu’à la fin.. »
Envoûté par ces murmures, le jeune homme s’apprêtait à partir avec le miroir loin de tout pour s’abreuver de son propre reflet. Mais dans un ultime élan, les bribes de sa conscience convoquèrent désespérément ce qui restait de raison en lui, l’implorant de résister aux tentations de cette voix mystérieuse. Alors, dans un terrible effort qui se traduisit sur son visage par un dernier rictus d’hésitation, le héros vit la vérité se présenter à lui : « Quel imbécile j’ai été ! Non ; ce n’est pas moi que je percevais à travers ce miroir, mais uniquement ce que je voulais y voir de moi-même ! » Rassemblant toute sa volonté, il éloigna l’artefact de son visage comme s’il s’était agit d’une créature terrifiante cherchant à s’agripper de toute la force de ses griffes acérées à lui, et le laissa tomber. Pendant une bonne minute sa respiration saccadée fut le seul bruit qui perça le silence des ténèbres ; puis, essuyant son front couvert de sueur il ramassa l’objet avant de le mettre dans son sac et prendre le chemin du retour.
Arpentant les sentiers qui devaient le mener au terme de son aventure, le héros s’imagina son arrivée au palais et surtout le regard reconnaissant que poserait sur lui la princesse, de nouveau en possession de son miroir et, en effet, l’accueil qu’on lui fit confirma ses espérances. Le jeune homme avait rapporté à la princesse le trésor familial, mais plus encore, il advint que le vrai trésor de cette quête pour la princesse fut le héros lui-même puisque lui et la jeune héritière s’épousèrent peu après.

Couchant ces quelques mots, le vieux scripteur versa des larmes, mais se rappelant que son public exigerait sans nul doute un dénouement plus innovant et moins remâché il décida d’ancrer la conclusion de son récit dans un cadre un tantinet plus moderne.
Ainsi, la vie conjugale devint vite très difficile pour le jeune héros car la princesse refusait de le laisser s’occuper de son potager et de ses poules, jugeant qu’il était désormais de statut bien trop noble pour s’abaisser à de telles grossièretés. Pire encore, elle lui interdisait de retrouver ses amis au bar qu’elle considérait comme un haut lieu de perdition ce qui acheva de désespérer le jeune homme, lequel s’en retourna finalement dans sa petite maison se disant qu’il aurait mieux fait de rester chez lui et de ne pas s’engager dans un tel voyage.

Amarilys, bien évidemment, tu peux participer à ce concours ! Au contraire même ! Tu fais désormais partie du forum même si le MJ est un peu à la traine...faudrait le secouer un peu celui-là...

* Invite Amarilys, d'un geste de la main, à prendre le paquet rouge *

Que les cartes qu'il contient nourrissent votre imaginaire, mystérieuse Amarilys !

* Se tourne vers Rahun et l'invite à son tour à récupérer son deck *

Aller l'ancien, montrez-nous ce que vous savez faire !

Andro...je sais que le destin nous force à rester loin de l'autre mais c'est dur...plusieurs fois j'ai désiré en finir tant la douleur due à ton absence était insupportable...
Tuons Rahun et partons loin Andronichou ! Accepte je t'en prie !

A défaut d'avoir déjà joué à ce jeu (bien que j'en ai entendu parler pendant des années et que je crois même l'avoir eu la la coloc), je vais participer au concours avec grand plaisir!
Et je vais prendre le deck blanc, s'il vous plaît Un'mei, pour symboliser ma pureté d'âme (rien que ça).

Comment ?! Tu n'y a jamais joué Hum (Tiens, c'est marrant "Hum", je vais le garder) ? Il faudra y remédier très vite ! (le jeu se trouve chez Seub ><)

En attendant, veuillez vous saisir du paquet blanc, jeune marin d'eau douce. Qu'il soit le miroir de votre...pu...pureté...(ce qu'il faut pas entendre...)

Je pense qu'Andronic devait placer "Déliquescent" !

@ Un'mei : t'oublierais pas un petit détail concernant Andronichou ?

Mais Un'mei, un tel meurtre nous restera à jamais sur la conscience ! Le vieux sera là pour nous hanter jusqu'à la mort si on en venait à se débarrasser de lui, et il nous privera à tout jamais de cette existence de délice que nous avons déjà tant de mal à arracher au destin !
Oh bon sang je suis sûr qu'il nous soupçonne déjà et ne tardera pas à tout savoir !

Tuons Rahun, qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre. Ces jeunes ne savent plus se tenir ma parole. Enfin passons. Je préfère m'atteler à la tache qui m'a été incombée.
Houla !!! pas coton du tout. allez corage au taf

Avant que ne me fasse taper par Un'mei, je vais prendre le deck : Noir

*regarde sombrement Alya*

Ouais, tu fais bien...j'étais en train de me dire que j'allais devoir essayé ma nouvelle arme sur toi. Ca m'aurait fait de la peine !

*invite la jeune guérisseuse à prendre le paquet aux cartes noires*

Que leur noirceur ne vous envahisse pas...


Et ah oui ! Comme j'aime bien vous donner des corvées à faire, en voici une : mettre en gras les mots que vous deviez utiliser, ça me facilitera la tâche lors de mes vérifications ! *w*
Ma petite, Andronichou, vous savez ce qu'il vous reste à faire =P

Alya se dirigea vers la paquet de carte, et plus elle s'en approchait, plus il lui semblait que la lumière ambiante de la pièce s'amenuisait. Les ombres grandissaient autour d'elle et elle se dit :

Mais pourquoi ai-je choisit ça moi ? -_-'

Elle tendit le bras et sentit l'air se glacer à proximité du deck.

Elle le prit avec appréhension, et se dirigea vers une table pour tirer les cartes...

J'étais sûre que tu allais demander ça. Je dirais même certaine.

EDIT : Voilà, j'ai même souligné les mots la première fois qu'ils apparaissaient !
Ca fait bonne élève.

Toujours à votre disposition cher Un'mei !

(Je te ferais bien une étreinte chaleureuse mais.. Rahun rôde peut-être dans les parages..)

Aller, je vous donne encore une corvée à faire ! J'aimerais que vous donniez un titre à vos histoires, ça sera plus simple pour moi quand je mettrai en place les votes. Merci à vous ^^

Tu fais exprès de tout dire au compte goutte ! xD